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Historique

L'ouverture de l'établissement scolaire remonte aujourd'hui à plus d'un siècle :

 

 

Au cours de ce siècle bien des personnes ont joué un rôle déterminant quant à sa création tout d’abord, mais aussi pour permettre, lors de phases successives et parfois concomitantes, son expansion, son adaptation aux besoins des époques qu’il a traversées, son évolution dans le tissu local changeant au fil du temps, voire sa survie au gré d’événements qui lui furent plus ou moins favorables.

 

Depuis sa fondation il n’a cessé d’être protégé par les membres de la Sainte Famille - Sacré Cœur de Jésus, Saint Joseph, Notre Dame - dont il a porté le nom et, bien sûr, par la fondatrice de la congrégation qui en a la responsabilité de tutelle, Sainte Emilie de Rodat.

I)  Sainte Emilie de Rodat, institutrice des pauvres 

Née en 1787 au château paternel de Druelle, près de Rodez (Aveyron), Emilie est l’aînée de cinq enfants. Ses parents lui donnent une éducation profondément chrétienne ; mais c’est seulement à l’âge de seize ans, lors de la Fête-Dieu de l’année 1804, qu’elle ressent avec violence le désir de suivre en tout le Christ. Comment s’y prendre ? La tourmente révolutionnaire a mis à l’épreuve la foi des chrétiens, l’éducation religieuse des enfants, suite au départ ou au massacre des prêtres et religieux, est réduite à néant ; la misère est partout.

C'est à Villefranche-de-Rouergue qu'Emilie entrevoit sa mission :

 

 

La communauté de Madame Saint-Cyr, laquelle réunit d’anciennes religieuses chassées de leurs couvents par la révolution, a pour tâche d’instruire les enfants et de leur faire connaître le Christ. Emilie est heureuse ; cependant, seuls sont pris dans l’école ceux qui peuvent payer. Elle obtient de cette même communauté de pouvoir accueillir dans sa chambre les enfants les plus pauvres.

Maison de Sainte Emilie de Rodat à Villefranche de Rouergue

L'abbé Marty

Son enthousiasme est contagieux :

 

 

Trois de ses amies se joignent à elle et, sous la direction de Monsieur l’abbé Marty, elles s’engagent le 30 avril 1816 à consacrer leur vie au « soin des enfants » : « C’est le désir de leur donner une éducation chrétienne qui nous a rassemblées » (Règle de vie édictée le 30 avril 1816). Le 8 septembre 1820, elles se consacrent définitivement à Dieu. En 1822, elles donnent son nom définitif à leur communauté : les Sœurs de la Sainte Famille. L’«esprit de Nazareth » consiste à ancrer leur vie dans la prière et, dans le consentement à la pauvreté, à aimer et servir les plus pauvres. Aussi l’action d’Emilie et de ses sœurs s’étend-elle au-delà de la seule fondation d’écoles : les prisonniers, les prostituées font l’objet de leurs soins. « Il faut, dit Emilie, que notre charité s’étende à tous les hommes. »

Plus d'un siècle s'est écoulé depuis sa mort en 1852 :

 

 

Nous comptons en 1983, 1032 sœurs de la Sainte Famille, présentes non seulement en France et en Europe (Angleterre, Irlande, Belgique, Suisse, Italie, Espagne), mais dans le monde entier : en Afrique (Egypte, Sénégal, Côte d’Ivoire), en Amérique du Sud (Brésil, Bolivie), et au Proche-Orient (Liban). Les paroles de leur engagement restent fidèles à l’«esprit de Nazareth » voulu par Emilie ; elles éclairent sur le sens de leur action, notamment au sein des établissements scolaires :

 

  «  Le Fils de Dieu vient habiter parmi nous,

Il partage les conditions de vie du peuple où il s’insère.

A travers tout ce qui constitue son existence,

Un même mouvement d’amour lui fait rejoindre

Dieu son Père et les hommes ses frères,

En particulier les exclus de la société de son temps.

Par son enfouissement dans une vie sans privilège,

Il révèle le visage d’un Dieu de tendresse et de fidélité,

Proche des petits et des humbles,

Pour les rétablir dans leur dignité de fils du même Père.

Nazareth est le commencement d’une immense espérance

Offerte à tous les hommes.

Sœurs de la Sainte Famille,

Nous voulons prolonger dans nos vies

Ce mystère d’amour de Dieu-fait-homme. »

Sainte Emilie de Rodat

II)  Notre Dame : Un établissement centenaire 

Après les bouleversements engendrés par la révolution française, il faudra attendre 1802 et le Concordat pour rétablir la présence des religieux au sein des établissements scolaires ainsi que l’enseignement du catéchisme. La Restauration permettra aux curés de nos paroisses d’avoir un droit de regard sur le fonctionnement des écoles, situation qui perdurera jusqu’en 1882.

 

C’est en 1837, alors que les tensions entre l’Eglise catholique et les tenants d’opinions anticléricales sont courantes, que le curé de Sannois envisage de faire appel à des religieuses pour diriger l’école des filles. Cependant, face à l’hostilité de la bourgeoisie locale, il renoncera à son projet.

Les religieuses de la Sainte Famille appelées par l'abbé Delarue :

 

 

En mai 1895, Augustin Delarue, jusqu’alors vicaire à Sannois, devient le curé. Il commence dès lors à rechercher un local pour ouvrir des écoles libres à Sannois, afin de proposer une éducation chrétienne tant aux filles qu’aux garçons.

 

Il parviendra en 1897 à signer un bail à loyer de 2000 francs annuels pour une propriété, appartenant à Monsieur Chéron, située au 98 de la rue de Paris où séjournèrent jadis Sainte Beuve, Anatole de Montaiglon et Victor Hugo. Le local étant trouvé, il faut assurer l’encadrement des élèves à venir. L’un de ses confrères, curé de Verrières le Buisson, lui ayant fait connaître la congrégation de la Sainte Famille de Villefranche de Rouergue dans l’Aveyron, notre curé part pour le Sud-Ouest afin de rencontrer la Mère Générale qui ne lui refusera pas ses sœurs enseignantes.

 

Après quelques travaux expédiés par le curé afin de voir arriver au plus vite les religieuses, ce sont trois sœurs – Mère Marie Thérésia, Sœur François Régis et Sœur Rosine Marie - qui arrivent à Sannois pour fonder la Maison d’Education du Sacré-Cœur le samedi saint 9 avril 1898. L’ouverture des classes a lieu le 19 avril avec seize élèves, pour dépasser les soixante à la fin de l’année scolaire.

 

Après avoir acheté la propriété en juillet 1899, le curé ouvre une classe enfantine à Pâques 1900 au 110 de la rue de Paris sous le nom d’Externat Saint Joseph.

Les lois de 1880 chassent les congrégations religieuses :

 

 

 

Dès 1880, les congrégations sont plus ou moins tolérées. La loi sur les associations les soumet au régime de l’autorisation législative qui leur sera bien souvent refusée.

 

La maison d’Education du Sacré-Cœur et l’Externat Saint-Joseph sont touchés. Le 17 juin 1903, le commissaire d’Argenteuil vient signifier à la supérieure que la fermeture sera effective le 31 juillet. Les sœurs de la Sainte Famille, contraintes au départ, se dispersent vers l’Angleterre ou la Belgique.

 

Pour la rentrée d’octobre 1903, le curé Delarue doit faire appel à quatre anciennes élèves de la maison de Verrières pour continuer l’œuvre entreprise, qui prendra désormais le nom de Pensionnat Notre-Dame.

Le retour de la Sainte Famille :

 

           

Dès 1916, sur les conseils de familles sannoisiennes, le curé  reprend contact avec Villefranche de Rouergue qui envoie ses religieuses pour reprendre en main la maison. C’est Madame Sannié (Sœur Elvire), première religieuse enterrée au cimetière de Sannois, qui en assure la direction jusqu’à son décès en 1920.

 

Madame Vidal (Mère Marie Nancy) est nommée pour la remplacer. Grâce à son dynamisme, l’école grandit rapidement pour atteindre un effectif de 250 élèves dont 80 pensionnaires lorsqu’elle décède en 1939.

 

Cette période du retour des sœurs de la Sainte Famille précédant le second conflit mondial sera l’occasion de grands changements immobiliers pour l’institution. En effet, en 1924-1925, le bâtiment des classes du 110 est augmenté d’une travée abritant quatre nouvelles classes. Puis, l’enclave entre le 106 et le 110 disparaît par l’acquisition de l’immeuble situé entre ces deux bâtiments. Le permis de construire obtenu en 1929, les travaux se déroulent en 1930 et 1931 tandis que la classe est assurée au 156 de la rue de Paris.

 

Dès lors le recrutement des élèves ne se limite plus à la région parisienne, puisque des élèves britanniques mais aussi grecques orthodoxes ont rejoint l’institution. La guerre qui éclate en 1939 stoppe l’expansion de l’établissement et l’exode de 1940 disperse les enseignantes et les religieuses. En octobre, l’école reprend son activité. A partir de 1941, les religieuses ont la grande joie d’être enfin reconnues, de pouvoir porter l’habit et leur nom de profession religieuse. Toute la congrégation peut participer aux cérémonies de béatification d’Emilie de Rodat les 1er, 2 et 3 mai à Villefranche de Rouergue. Sa canonisation, en avril 1950, est solennellement célébrée à Sannois du 19 au 22 octobre.

La façade de l'institution Notre Dame

L'après-guerre et la reconnaissance des écoles libres :

 

                       

Après la guerre, la politique reprend les vieilles querelles du passé : école publique contre école libre. Pour apaiser ce climat, la loi du 28 septembre 1951, dite loi Barangé, est une reconnaissance officielle des écoles libres. Afin de pouvoir toucher les 1000 francs attribués par élève, il faut constituer une association de parents d’élèves et un comité familial scolaire pour en assurer la gestion. C’est rapidement chose faite.

 

Madame Vidal qui aura passé quelques 30 ans à Sannois s’éteint en 1958 à Villefranche de Rouergue.

Mère Lucie du Sacré Cœur, ancienne élève de Sannois, lui succède à la direction en 1953. Avec elle, les activités pédagogiques se multiplient grâce notamment aux nouveaux moyens de communication : télévision, cinéma Rex de Sannois, abonnement au théâtre, visites de musées, pélerinages…

 

L’école s’ouvre sur le monde et nombre d’organismes chrétiens y tiennent leurs réunions : A.C.O, J.O.C, Société St Vincent de Paul…

 

Une loi du 31 décembre 1959 vient modifier la situation des écoles libres en leur proposant un contrat d’association avec l’Etat dont un des éléments sera de faire prendre en charge la rémunération des enseignants par l’Etat. Il faudra peu de temps pour mettre cette réforme en route à Notre-Dame, un contrat simple étant signé avec l’Etat le 29 avril 1964 pour les classes primaires puis le 19 mai de la même année pour les classes secondaires.

 

Lorsqu’elle quitte Sannois pour le Liban, au terme de onze années de direction, Mère Lucie a permis à l’établissement de se développer, portant l’effectif à 419 élèves.

L'ère moderne s'ouvre avec les contrats :

 

                                  

Lorsque Sœur Agnès arrive à Sannois en 1965, la construction du nouveau bâtiment sur le parc s’achève, ayant entraîné la démolition de l’ancienne maison Chéron, point de départ de l’institution.

 

C’est en 1969 que la direction de l’école primaire se distingue de celle du secondaire. Cette même année sont signés le 27 novembre les contrats d’association avec l’Etat, tant pour l’établissement du premier degré que pour celui du second degré.

Seront construits deux préfabriqués accueillant, pour l’un, les laboratoires scientifiques en 1966, pour l’autre, les classes maternelles de l’établissement en 1971.

  

Alors qu’en 1975, les effectifs atteignent la barre des 700 élèves, une grande révolution s’opère en 1976 avec la mixité introduite au primaire et la suppression de l’internat pour cette même classe d’âge. La mixité dans le secondaire arrivera à compter de la rentrée 1978.

 

Au décès de Sœur Agnès en 1978, c’est Sœur Dominique, alors enseignante à Sannois, qui accepte la charge de directrice de l’établissement, charge qu’elle assumera jusqu’à son élection au Conseil Général de la Congrégation durant l’été 1999. Elle quittera définitivement Sannois au terme de l’année scolaire 1999-2000.

 

Au cours de ses 23 années de direction, elle permettra à l’établissement de se moderniser : un ascenseur pour permettre l’accès aux classes du bâtiment secondaire est par exemple édifié côté parc en 1980. En 1992, la restructuration du second étage du bâtiment administratif permet d’accueillir les salles de technologie et d’informatique du collège.

 

En 1994, le pavillon Sainte Emilie, abritant le C.D.I, une grande salle d’examen ainsi que des salles dédiées à l’aumônerie, sort de terre avant qu’un self moderne, conçu pour quelques 450 repas quotidiens, jaillisse au fond du parc en 1997.

     

Après elle, et pour la première fois dans l’histoire de l’Institution, la direction de l’établissement sera confiée à des laïcs.

Préfabriqué des Maternelles

Préfabriqué des laboratoires

L'Orangerie - self

Pavillon Sainte Emilie

La grande restructuration de Notre Dame débute en 2010 :

 

2010 :

 

19 juillet : Octroi d’un Permis de Construire de « Restructuration de l’Institution Notre-Dame » par l’Association Immobilière Émilie de Rodat.

 

Juillet-Août : Transformation de la salle de Sport en classes maternelles-CP…

 

Septembre : L’école fait sa rentrée dans son ancien bâtiment, boulevard Charles de Gaulle, dans les salles provisoires et dans un Algéco pour une année scolaire.

 

Octobre : Préparation du chantier – déconstruction de l’ancien bâtiment paroissial pour mettre en place une base vie importante…

 

Novembre : Déconstruction de l’ancien préfabriqué métallique des maternelles-CP… ce bâtiment « provisoire » datait de 1971.

 

17 décembre : Le chantier s’accélère… La grue est montée… signe qu’une activité importante se prépare… Le béton commence à couler… Le Défi est d’envergure, construire 13 classes et les locaux annexes pour la rentrée 2011…

 

2011 :

 

29 janvier : Au cours d’une sympathique cérémonie, le terrain de l’école est béni par le Père MACHENAUD, représentant Mgr RIOCREUX… et un tube est scellé dans une fondation de l’école…

De janvier à juillet les travaux se déroulent à la vitesse grand V, tout en construisant un bâtiment de qualité…

 

Fin juin: Les Services Administratifs intègrent leurs nouveaux bureaux, en lieu et place des Classes Maternelles… Le vieux bâtiment est vidé de son contenu… Merci aux personnels, enseignants et parents d’élèves qui ont rempli de nombreuses bennes…

 

Au cours des mois de juillet et août: Les vieux bâtiments Administration-Lycée et École seront démolis, les clôtures posées sur la cour du Lycée et sur le boulevard Charles de Gaule…

 

16 août : La Commission de Sécurité donne l’autorisation d’ouverture de l’école…

 

En 15 jours, l’école sera emménagée et équipée…

 

La rentrée de septembre: Les écoliers et leurs enseignants prennent possession de leur nouveau bâtiment… Quelle joie pour eux d’être dans une grande Ecole neuve et fonctionnelle…

 

19 septembre : L’ensemble de la 1° phase se termine :

ECOLE, PARKING, CHAPELLE ET BÂTIMENT PAROISSIAL…  

Mgr RIOCREUX bénit la Chapelle en ce jour de la fête de Sainte-Émilie…

 

Une 1° étape est franchie…        

 

En route vers la 2°…

 

Septembre à novembre, le collège se voit doter d’un nouvel ascenseur…

 

20 septembre : la grue est montée sur la cour du Lycée…

La construction d’un lycée de 18 classes, 7 salles spécialisées et d’une zone administrative et pédagogique peut commencer…

 

5 octobre : début du battage des nombreux pieux de fondation dont certains atteignent 80 cm et même 1 mètre de diamètre, à une profondeur de  14 mètres.

Suivront les différentes phases de coulage de béton…

2012 :

 

Bénéficiant d’une météo d’hiver clémente, seulement une dizaine de jours d’intempéries en février 2012, le gros-œuvre se termine à la mi-mars

 

Fin mars, la charpente est posée… la couverture suivra…

 

Depuis avril, les différents corps de métier se sont succédés à l’intérieur du bâtiment : huisseries, cloisons, menuiseries, ventilation, chauffage, plomberie, métallerie, sols, peinture, plafonds… Chantiers peu visibles de l’extérieur, mais dont l’avancement était rapide et nous surprenait souvent lors des rendez-vous de chantier du Jeudi…

 

Les mois de septembre-octobre verront le bâtiment se parer de son isolation et des ses enduits colorés et de son enseigne qui font que notre Lycée devient un véritable Signal Architectural dans le centre ville de Sannois…

 

Octobre-novembre furent aussi des mois consacrés aux différentes finitions…

 

Mi-novembre, le goudronnage de la cour nous faisait quitter une zone de chantier pour un chantier « propre »… un bâtiment en finition…

 

Le 22 novembre, la réception des travaux est faite… restent quelques réserves à lever…

 

Une phase d’emménagement se déroula rapidement : livraison du mobilier scolaire, mise en place des laboratoires, intégration du réseau informatique… Toutes ces phases occupèrent fortement l’Equipe de Direction et les Personnels…

 

Le 27 novembre, la Commission de Sécurité Départementale autorise l’ouverture du bâtiment au Public…

 

Les 18 et 19 décembre, l’ensemble des personnels et enseignants déménagèrent les bureaux et salles des professeurs…

 

Les 20 et 21, les lycéens découvraient leur nouvel établissement dans la joie et la bonne humeur…

2013 :

 

La 3°ème étape est en route.

 

La salle de sport et les vestiaires  sont rénovés : éclairage, peinture, revêtement de sol adapté, et sont rendus au professeurs de Sport à la rentrée des vacances d’Hiver.

 

A partir de la mi-juin le collège se transforme lui aussi… Mises aux normes de sécurité et PMR, sanitaires à chaque étage, grande salles pour les Arts Plastiques, la Musique et la Technologie… Salle d’Étude Collège-Lycée… Escalier de secours pour 2 étages sur le pignon Ouest… Du bâtiment des années 60, il ne restait qu’une coque vide… tout a été refait à l’intérieur…

 

Au cours du 1er trimestre 2013-2014, le préfabriqué (datant de 1966) des Labos est déconstruit… Le foyer Lycéen de 170 m2  est construit et est opérationnel pour la rentrée Février 2014… Ce nouvel équipement permet d’offrir un véritable lieu de vie et un espace de restauration aux Lycéens…

2014 :

 

Au cours de l’été 2014, les façades du collège sont isolées et un habillage moderne lui permet de retrouver une nouvelle jeunesse. Un nouvel escalier extérieur est construit sur le pignon Est du CDI. Cette construction nous permettra de lancer, au moment venu, la 4ème tranche du renouveau de l’établissement.

 

18 octobre: Inauguration de l'intitution Notre Dame de Sannois.

 

La 4° étape consistera à transformer le bâtiment Sainte-Emilie et agrandir le CDI collège-lycée… qui doublera sa surface…

Cet aménagement se fera dans les années à venir.

 

Après avoir détruit près de 3 100 m2 de locaux vétustes, il a été  reconstruit environ 5 500 m2 neufs. Au final, le site comprendra 10000 m2  de locaux adaptés à leur objet.

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